Quatro anos de trabalho duro!Neste mês de maio fizemos quatro anos no ar. Continuamos trabalhando na divulgação deste maravilhoso instrumento, obrigado por participar da nossa história!
[Intro]
Am Em G F
[Couplet]
Am
Demain que vais-je faire ?
Em
Maintenant que je t'ai connu
G F
De ville en ville ma vie je l'ai deja rêvée
Am
Es-tu encore la ?
Em
Es-tu deja partie ?
G F
Suivre les lignes de l'enfer
[Refrain]
C
Quand tu disais que l'on pouvait gagner
Am
Quand on prenait les vagues sans se noyer
G F
Quand le paradis semblait si près
C
Quand tu disais que l'on était loin
Am
Quand tu cachais si bien ton chagrin
G F
Quand le vent dévoilait ton charme sans fin
[Couplet]
Am
Toi qui m'éloigne du monde
Em
La chaleur et la beauté
G F
Retour dans le traffic, je suis mal mal placé
Am
Et on tourne dans les grandes villes
Em
A chercher l'amour d'une nuit
G F
Mais dans les sombres bars c'est la solitude qui crie
[Refrain]
C
Quand tu disais que l'on pouvait gagner
Am
Quand on prenait les vagues sans se noyer
G F
Quand le paradis semblait si près
C
Quand tu disais que l'on était loin
Am
Quand tu cachais si bien ton chagrin
G F
Quand le vent dévoilait ton charme sans fin
[Pont]
G Am
Et les années passent, passent et je sens que tu m'oublies
G Am
Reviendras-tu me voir quand le naufrage sera fini ?
G Am
Je ne serai plus le même mais je serai encore ici
G F Am
A attendre, sans le savoir, ton retour
Am
Quand le temps ne bouge plus
Em
Quand le ciel a un drole de sourire
G
Quand ton visage ne me quitte plus
F
C'est ma raison que tu respires
[Refrain]
C
Quand tu disais que l'on pouvait gagner
Am
Quand on prenait les vagues sans se noyer
G F
Quand le paradis semblait si près
C
Quand tu disais que l'on était loin
Am
Quand tu cachais si bien ton chagrin
G F
Quand le vent dévoilait ton charme sans fin
[SOLO]
Am Em G F
Am Em G F
[Refrain]
C
Quand tu disais que l'on pouvait gagner
Am
Quand on prenait les vagues sans se noyer
G F
Quand le paradis semblait si près
C
Quand tu disais que l'on était loin
Am
Quand tu cachais si bien ton chagrin
G F
Quand le vent dévoilait ton charme sans fin
Am Em G F
[Couplet]
Am
Demain que vais-je faire ?
Em
Maintenant que je t'ai connu
G F
De ville en ville ma vie je l'ai deja rêvée
Am
Es-tu encore la ?
Em
Es-tu deja partie ?
G F
Suivre les lignes de l'enfer
[Refrain]
C
Quand tu disais que l'on pouvait gagner
Am
Quand on prenait les vagues sans se noyer
G F
Quand le paradis semblait si près
C
Quand tu disais que l'on était loin
Am
Quand tu cachais si bien ton chagrin
G F
Quand le vent dévoilait ton charme sans fin
[Couplet]
Am
Toi qui m'éloigne du monde
Em
La chaleur et la beauté
G F
Retour dans le traffic, je suis mal mal placé
Am
Et on tourne dans les grandes villes
Em
A chercher l'amour d'une nuit
G F
Mais dans les sombres bars c'est la solitude qui crie
[Refrain]
C
Quand tu disais que l'on pouvait gagner
Am
Quand on prenait les vagues sans se noyer
G F
Quand le paradis semblait si près
C
Quand tu disais que l'on était loin
Am
Quand tu cachais si bien ton chagrin
G F
Quand le vent dévoilait ton charme sans fin
[Pont]
G Am
Et les années passent, passent et je sens que tu m'oublies
G Am
Reviendras-tu me voir quand le naufrage sera fini ?
G Am
Je ne serai plus le même mais je serai encore ici
G F Am
A attendre, sans le savoir, ton retour
Am
Quand le temps ne bouge plus
Em
Quand le ciel a un drole de sourire
G
Quand ton visage ne me quitte plus
F
C'est ma raison que tu respires
[Refrain]
C
Quand tu disais que l'on pouvait gagner
Am
Quand on prenait les vagues sans se noyer
G F
Quand le paradis semblait si près
C
Quand tu disais que l'on était loin
Am
Quand tu cachais si bien ton chagrin
G F
Quand le vent dévoilait ton charme sans fin
[SOLO]
Am Em G F
Am Em G F
[Refrain]
C
Quand tu disais que l'on pouvait gagner
Am
Quand on prenait les vagues sans se noyer
G F
Quand le paradis semblait si près
C
Quand tu disais que l'on était loin
Am
Quand tu cachais si bien ton chagrin
G F
Quand le vent dévoilait ton charme sans fin
Haunt
Haunt the House
Hauptkampflinie
HAUSMAGGER
Haustor
Haven
Havoc
Havok In Hollywo (...)
Hawaiian Style B (...)
Hawane Rios